Gerold Schumann adapte le roman de Thomas Bernhard (Prix Médicis étranger 1988), comme à son habitude féroce avec son pays l’Autriche, les Autrichiens et le monde de l’art…
Depuis plus de trente-six ans, Reger, musicologue de renom et véritable détestateur du monde, fréquente le Musée d’art ancien de Vienne où il s’assied, un matin sur deux, face à L’homme à la barbe blanche, tableau du Tintoret représentant la vieillesse et la mort.
La température de dix-huit degrés qui y règne jusqu’à midi est celle, idéale, qui convient à l’esprit de Reger et favorise sa pensée. Ces visites lui permettent de développer sa réflexion à propos de tout ce qui l’irrite et le scandalise : l’être humain, la société et la politique, l’art…
Survient un événement inhabituel : Reger convoque Atzbacher, un scientifique qui fréquente lui aussi régulièrement le musée, à un énigmatique rendez-vous…
« Le public jubile » • Théâtre du blog
« Jeu de massacre » • L’Humanité
« Remarquable adaptation » • La Terrasse
« François Clavier magistral » • Théâtres.com
« Lumineuse réflexion sur l’art » • L’œil d’Olivier
« Dérision totale » • SNES-Educ
MAÎTRES ANCIENS
d’après le roman de
Thomas Bernhard
musique
Fanny Mendelssohn
adaptation et mise en scène
Gerold Schumann
d’après la traduction de
Gilberte Lambrichs
Interprétation
François Clavier
Voix
Gerold Schumann
Scénographie et costumes
Pascale Stih
Lumière
Philippe Lacombe
Construction décor
Jean-Paul Dewynter
Quatuor Fanny :
Premier violon
Christophe Giovaninetti
Deuxième violon
Yibin Li
Alto
Pierre-Henri Xuereb
Violoncelle
Raphaël Chrétien
Ingénieur son
Didier Henry
MENTIONS DE PRODUCTION
Production
Théâtre de la vallée
Avec le soutien de
la Ville d‘Écouen et de Lilas en Scène, Les Lilas