JEAN-MARC BARR
Mise en scène : GORAN SUSLJIK
LA SONATE A KREUTZER
D’APRÈS Léon Tolstoï
Création Comédie de Picardie
ACCOMPAGNÉ PAR PRIMA DONNA
À la fois représentation théâtrale et concert classique, la pièce unit la musique de Beethoven et la nouvelle de Léon Tolstoï. Avec Jean-Marc Barr dans le rôle du mari déchiré.
Rares sont les œuvres qui, comme cette nouvelle de Tolstoï, suscitèrent autant de débats passionnés sur les questions du mariage, de la sexualité et du rôle dévolu aux femmes ! L’écrivain tourmenté et profondément déchiré ajouta même une postface dans laquelle il clarifie sa position radicale, condamne l’amour charnel et prône un idéal chrétien de pureté et d’abstinence.
Dans cette nouvelle, un narrateur recueille la confession de Pozdnyshev, qui révèle avoir tué son épouse par jalousie et développe aussi son analyse sur cette issue tragique. La complicité unissant l’épouse et son professeur de musique, qui interprètent ensemble La sonate à Kreutzer de Beethoven, le rendit fou de rage. Au-delà du drame apparaissent les contradictions et la profonde hypocrisie d’une société volontiers décadente.
La pièce entrelace merveilleusement théâtre et musique, célèbre l’art à travers deux maîtres illustres – Tolstoï et Beethoven -, et invite à considérer avec sincérité cette question de l’amour conjugal, qui demeure socialement et intimement un enjeu majeur !
Créée à Belgrade avec succès, cette pièce rassemble une équipe artistique qui se connaît de longue date : Jean-Marc Barr et deux excellentes comédiennes et musiciennes, Irina Decermić et Sonja Kalajić.
LA SONATE A KREUTZER
Mise en scène :
Goran Susljik
D’après la nouvelle de :
Léon Tolstoï
Adaptation dramaturgique :
Irina Decermic
Durée : 1h10
Distribution :
Jean-Marc Barr
Tijana Milosevic
Irina Decermic
Musique interprétée par :
Irina Dečermić piano
Tijana Milošević violon
EXTRAITS DE PRESSE
A la fois représentation théâtrale et concert classique, la création unit et confronte la nouvelle de Léon Tolstoï et la partition de Beethoven. Avec Jean-Marc Barr dans le rôle du mari déchiré.
Rares sont les œuvres qui, comme cette nouvelle de Tolstoï, suscitèrent autant de débats passionnés sur les questions du mariage, de la sexualité et du rôle dévolu aux femmes ! Dans cette nouvelle, un narrateur recueille la confession de Pozdnyshev, qui révèle avoir tué son épouse par jalousie et développe aussi son analyse sur cette issue tragique. La complicité unissant le violoniste Troukhatchevski et son épouse, qui interprètent ensemble La Sonate à Kreutzer de Beethoven, le rendit fou de rage. Au-delà du drame apparaissent les contradictions et la profonde hypocrisie d’une société volontiers décadente. L’écrivain tourmenté et profondément déchiré ajouta une postface dans laquelle il clarifie sa position radicale, condamne l’amour charnel et prône un idéal chrétien de pureté et d’abstinence. Sofia, l’épouse de l’écrivain, fascinée et horrifiée par le texte, rédigea ensuite sa réponse féminine à travers son Journal.
Entrelacer théâtre et musique
Créée à Belgrade avec succès, cette pièce rassemble une équipe artistique qui se connaît de longue date. « Juxtaposer ces points de vue permet la théâtralisation de l’incapacité de vraies relations hommes/femmes dans un monde dominé par les hommes », confie le comédien Jean-Marc Barr, interprète de Pozdnyshev. Sofia Tolstoï et Troukhatchevski sont interprétés par deux excellentes comédiennes et musiciennes : Irina Decermić et Sonja Kalajić. La pièce célèbre l’art à travers deux maîtres illustres – Tolstoï et Beethoven -, et invite à considérer avec sincérité cette question de l’amour conjugal, qui demeure socialement et intimement un enjeu majeur !
Agnès Santi, La Terrasse
MENTIONS DE PRODUCTION
Co-production :
Prima Donna